Autour,
Neiges en allées
Herbes réveillées
Pierres figées
Le temps passe, inébranlablement.
dimanche 27 avril 2014
mercredi 4 septembre 2013
Paris, amour
Voyage au centre de Paris
Alexandre
Lacroix, éditions Flammarion, 2013
Le narrateur
marche dans Paris. Ses pensées alternent entre d’érudites réflexions au sujet
de sa ville qu’il prend souvent en grippe mais qu’il affectionne de façon
évidente, et sa relation avec sa bien aimée. Tout au long du trajet, c’est à
elle que s’adresse ce monologue intérieur. Il réfléchi à sa relation de couple.
Mais où ces déambulations le mèneront-il?
Cette visite nous
fait voir Paris sous un jour nouveau, avec des détails qui ne seront jamais
abordés dans les guides touristiques. L’auteur nous fait vivre un voyage dans
le temps, des rencontres avec des êtres singuliers, voir des endroits connus
sous un autre angle et découvrir des lieux qui sans lui resteraient clandestins.
À lire pour
tous les amoureux de Paris.
lundi 24 juin 2013
Bonne Saint-Jean!
Au fond de moi je porte un combat, celui du pays que mon peuple s’est
refusé. Je me bas au quotidien pour ma langue. Québécoise, française, forte au cœur
d’une Amérique anglophone.
Je me bas pour ma terre, mon air, mes rivières, ma culture. Ils sont miens, ils sont nôtres. Fête Nationale
ou Saint-Jean Baptiste, avec ou sans crucifix, le sens reste le même, fêter le
Québec et les gens qui l’habitent.
À travers leur art, plusieurs auteurs compositeurs ont acclamé le
Québec avec des chansons emblématiques et ils continuent de le faire. Dans son plus
récent album, le groupe Mes Aïeux nous a donné un texte admirable à écouter
pour se donner l’énergie nécessaire afin de poursuivre le combat de notre pays en devenir.
Les Oies sauvages.
dimanche 23 juin 2013
Revenir, encore
Revenir de voyage. Revenir chez soi, dans son pays, sa
ville, sa maison, revenir au boulot. L’excitation du départ, le confort du
retour, le désir de repartir.
La chance que l’on a de pouvoir éprouver toutes
ces sensations.
samedi 24 novembre 2012
L'herbe des nuits
L'herbe des nuits"Nous aurons été pour si peu de chose dans la vie..."
de Patrick Modiano
Éditeur: Gallimard
Patrick Modiano nous amène dans un Paris nocturne, il nous
guide le long des rues faiblement éclairées. Il nous fait reculer dans le temps,
au gré de souvenirs flous, de notes succinctes et minuscules qui retracent de
sales histoires au creux d’un carnet noir. Les souvenirs et les gens surgissent
au coin d’une rue ou au fond d’un café. Recherche d’identité, de vérité… peu
importe. Il est possible d’aimer éternellement sans jugement, sans procès…. Les
souvenirs restent dissous dans la pénombre.
On lit ce roman au rythme de la marche,
lentement, en s’arrêtant parfois comme on le ferait sur un banc, pour se
pencher sur le passé et voir surgir des détails.
« Les saisons varient et se confondent dans le souvenir comme si celui-ci, au cours des années, vivait de sa propre vie, une vie végétale, et qu’il n’était jamais une image fixe et morte. »
mardi 10 avril 2012
dimanche 13 novembre 2011
Espoir
La sensation du temps qui passe et l’impression qu’il ne faut jamais perdre espoir en l’avenir sont des idées qui m’habitent en permanence.
J’y vois un lien avec le film L’Arbre de la vie de Terrence Malick que j’ai vu pour la première fois dans l’avion entre Paris et Montréal. Quelle fabuleuse expérience que de voir ce film mystique en plein ciel. Souvent dérangée, j’avais interrompu le visionnement à plusieurs reprises mais les images m’habitaient encore et je ressentais le besoin de revoir le film pour en saisir tout le sens. C’est ce que j’ai fait hier soir. Si certains trouvent que ce film est trop axé sur la foi religieuse, je l’interprète plutôt comme le fait qu’il importe de garder espoir dans un avenir qui dépasse tout ce qu’on imagine.
J’y vois un lien avec le film L’Arbre de la vie de Terrence Malick que j’ai vu pour la première fois dans l’avion entre Paris et Montréal. Quelle fabuleuse expérience que de voir ce film mystique en plein ciel. Souvent dérangée, j’avais interrompu le visionnement à plusieurs reprises mais les images m’habitaient encore et je ressentais le besoin de revoir le film pour en saisir tout le sens. C’est ce que j’ai fait hier soir. Si certains trouvent que ce film est trop axé sur la foi religieuse, je l’interprète plutôt comme le fait qu’il importe de garder espoir dans un avenir qui dépasse tout ce qu’on imagine.

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